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- Exposition
- du 24 au 28 octobre 2012
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- Dédicaces
- Caricatures en direct
- 27 et 28 octobre 2012
- La lecture assidue de la presse enfantine, et tout particulièrement sa rencontre avec Pellos, grand dessinateur de presse que connaissait son père, ont déterminé la vocation du jeune Rik Cursat. Le dessin humoristique devient son objectif. Pendant trois ans il suit une formation classique aux Beaux-Arts et, deux ans plus tard, en décembre 1951, il est engagé à la rédaction du quotidien lyonnais Le Progrès.
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- Le Prix Carrizey, qui lui est décerné par Ici Paris en 1956, lui ouvre largement les portes de la presse nationale : France Dimanche, Marius, Radar, Le Hérisson, Almanach Vermot, Noir et Blanc, et bien d’autres encore… Il va également publier dans douze titres étrangers. Son humour, basé sur le décalage, le surréalisme, le loufoque, le non-sens ou la logique poussée à l’absurde, y fait merveille.
- Tout au long de sa carrière il reste cependant fidèle à la presse lyonnaise. En 32 ans de collaboration avec Le Progrès, puis 8 ans avec Lyon Matin, Rik Cursat publie quelque vingt mille dessins illustrant quotidiennement une rubrique consacrée à des faits divers (surprenants, étranges, semblant invraisemblables, mais véridiques) émanant d’agences de presse internationales.
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- Titrés "Ces petits riens qui font le mode" dans Le Progrès, et "Couci Cursat" dans Lyon Matin, certains de ces dessins sont repris en album en 1994.
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- Parallèlement, Rik Cursat illustre une rubrique similaire dans Le Dauphiné Libéré, titrée "Le saviez-vous ?".
- Ce prolifique dessinateur de presse, créateur de publicités, dessinateur à la télévision lyonnaise (pendant dix ans) a su également promouvoir le travail de ses confrères dessinateurs dans les pages du magazine Éclats de Rire dont il fut le rédacteur en chef de 1977 à 1985, puis dans celles du trop éphémère Rire Magazine.
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- Après une vie bien remplie, Rik Cursat s’est éteint à Lyon le 8 janvier 2006, dans sa 78e année.
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